Les récentes déclarations de Donald Trump concernant Vladimir Poutine et le conflit Iran-Israël
Lors d’un vol à destination des Pays-Bas, Donald Trump a récemment été interrogé par des journalistes au sujet de Vladimir Poutine. Le président américain a mentionné que le dirigeant russe s’était proposé de l’aider concernant les tensions entre Israël et l’Iran, rapporte TopTribune.
Quelle est la nature de la relation entre Donald Trump et Vladimir Poutine? Les deux hommes en sont à un point où ils restent en contact régulier, particulièrement sur le thème du conflit ukrainien. Alors que Trump appelle à un cessez-le-feu, Poutine, de son côté, semble prolonger les hostilités depuis de nombreux mois. Leur interaction ne passe pas inaperçue, révélant un degré de communication clairement établi.
La dernière conversation entre eux s’est déroulée il y a environ quelques heures, selon les déclarations de Trump. Cette discussion a notamment porté sur la guerre entre Israël et l’Iran. Il a fait cette révélation à un groupe de journalistes présents sur Air Force One en direction des Pays-Bas, lors de son voyage pour assister au sommet de l’OTAN à La Haye.
Iran/Israël: Donald Trump indique que Vladimir Poutine « a voulu l’aider » avec l’Iran, le président américain lui a répondu « qu’il n’avait pas besoin d’aide » pic.twitter.com/CcfUKMfBMC
— BFMTV (@BFMTV) June 24, 2025
Trump a déclaré : « Vladimir Poutine m’a demandé s’il pouvait m’aider avec l’Iran ». À cette offre, il a répliqué : « Je n’ai pas besoin d’aide pour l’Iran, mais avec vous (en référence au conflit ukrainien) ». Le président américain cherche clairement à obtenir une issue favorable dans la situation en Ukraine. « J’espère qu’on trouvera rapidement un accord à ce sujet », a-t-il ajouté, concluant son intervention en souhaitant un « bon vol » aux journalistes.
Alors qu’il se trouvait toujours à bord de l’avion, Trump a créé une certaine confusion parmi ses alliés en restant flou sur la position des États-Unis en cas d’agression contre un membre de l’Alliance. Les alliés semblent préoccupés par les réactions de ce président, dont les décisions peuvent sembler imprévisibles. Le secrétaire général de l’OTAN a souvent mis en garde contre la menace que représente la Russie, capable selon lui d’exécuter une attaque contre un des pays membres dans un délai de trois à cinq ans.
