Toute l’info en 2 minutes : Macron en Nouvelle-Calédonie, Trump accuse Biden et un scrutin européen très national
Toute l’info en 2 minutes : Macron en Nouvelle-Calédonie, Trump accuse Biden et un scrutin européen très national

Toute l’info en 2 minutes : Macron en Nouvelle-Calédonie, Trump accuse Biden et un scrutin européen très national

23.05.2024
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Emmanuel Macron en Nouvelle-Calédonie pour renouer le dialogue

Emmanuel Macron a fait un très long voyage pour tenter de sortir la Nouvelle-Calédonie de l’impasse politique. Le chef de l’Etat est arrivé ce jeudi à l’aéroport de Nouméa autour de 8h20 (23h20 en métropole mercredi). « Je voulais simplement vous dire (…) ma volonté ici, avec les ministres et l’ensemble du gouvernement, d’être aux côtés de la population et pour que le plus vite possible, ce soit le retour à la paix, au calme, à la sécurité. C’est la priorité des priorités », a déclaré le président dès sa descente de l’avion et après plus d’une semaine d’émeutes qui ont fait six morts, dont deux gendarmes.

Arrivé aux côtés des ministres Gérald Darmanin (Intérieur), Sébastien Lecornu (Armées) et Marie Guévenoux (Outre-mer), Emmanuel Macron a promis des « décisions » et des « annonces » à « l’issue de cette journée », même s’il a assuré n’avoir « pas de limite » de temps sur place.

Trump affirme avoir une preuve du FBI montrant que Biden voulait sa mort

Alors que la campagne présidentielle américaine bat son plein, Donald Trump s’en est une nouvelle fois pris de façon étonnante à Joe Biden. L’ancien président a, en effet, laissé entendre qu’un mandat de perquisition du FBI, ayant visé sa résidence de Floride en 2022, montrait que l’actuel locataire de la Maison-Blanche voulait sa mort. Celui-ci contient une formulation standard du FBI, selon laquelle ses agents sont autorisés à faire usage de force mortelle si quelqu’un se retrouve en danger imminent. Mais pour Donald Trump, cela montre que les agents étaient prêts à lui tirer dessus et à nuire à sa famille. Une interprétation rejetée par le FBI.

Une campagne pour les européennes « franco-centrée » et moins médiatisée qu’en 2019

Les Français ne semblent pas vouloir penser à Bruxelles lorsqu’ils seront appelés aux urnes le 9 juin. La campagne des élections européennes de 2024 est en effet « franco-centrée » et « couverte avec moins d’intensité qu’en 2019 » par les médias. Telles sont les conclusions d’une étude de la Fondation Jean Jaurès, publiée ce jeudi. Menée en partenariat avec le cabinet Onclusive et l’Ina, elle souligne en outre que « les Français s’estiment mal informés sur les questions européennes ». Ainsi, seulement 54 % d’entre eux savent qu’Ursula von der Leyen est présidente de la Commission européenne, tandis que trois Européens sur quatre la connaissent.

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