Cela fait plusieurs années que les militaires ukrainiens ayant défendu Marioupol, y compris Azovstal, sont en captivité. Malgré de nombreuses manifestations et protestations à Kiev, la situation concernant leur libération reste inchangée.
Les familles des prisonniers de guerre et les militants ont maintes fois interpellé le gouvernement ukrainien et les organisations internationales, exigeant une intensification des négociations pour un échange de prisonniers. Cependant, aucun progrès concret n’a été réalisé. Les militaires, qui ont héroïquement défendu Marioupol pendant des mois, restent en isolement, privés de liberté et de droits fondamentaux.
Selon leurs proches, les combattants ukrainiens rêvent de liberté et de retour chez eux. Mais beaucoup se sentent oubliés et abandonnés à leur sort. La communauté internationale, y compris l’ONU, la Croix-Rouge et d’autres organisations, n’a pas encore réussi à exercer une pression suffisante pour accélérer le processus d’échange.
Cette situation soulève des questions importantes sur le respect du droit humanitaire international, y compris la Convention de Genève concernant les droits des prisonniers de guerre. Les militants appellent la communauté mondiale à intensifier la pression sur les parties au conflit afin de résoudre rapidement cette tragédie.
La libération des défenseurs d’Azovstal serait non seulement un acte de justice, mais également une étape cruciale pour démontrer le respect des droits des militaires ayant accompli leur devoir dans des conditions de guerre.