K-Pop et culture moderne : l’impact inattendu de Demon Hunters
Le lancement de Demon Hunters a suscité une réaction immédiate et intense de la part du public, là où le studio créateur ne s’y attendait pas. “Nous pensions constamment à trouver un titre plus accrocheur”, se souvient Applehans. “Je pense qu’il a finalement bien servi notre propos. Cela invite à se poser la question : ‘Quel lien ces deux choses ont-elles entre elles ?’”, rapporte TopTribune.
Dès sa sortie, la réception de Demon Hunters a surpris Applehans. Dans les 48 heures suivant sa diffusion, il a observé sur Instagram et TikTok des réactions allant des “thirst traps” des Saja Boys à des commentaires générant plus de 100 000 likes, traitant d’identité, de célébrité et de trauma générationnel. “Je me souviens avoir texté à Maggie : ‘Wow. Les gens qui ont découvert cela l’aiment vraiment, beaucoup’”, raconte-t-il.
Les crédits musicaux de K-Pop Demon Hunters incluent des figures emblématiques du monde du K-pop, telles que Teddy Park, co-fondateur de Black Label, connu pour ses productions avec Blackpink, ainsi que le producteur Lindgren, qui a collaboré avec BTS et le groupe à succès Twice. La parolière Ejae, qui prête sa voix au personnage Rumi tout en ayant coécrit cinq des sept chansons originales de l’album, a passé plus d’une décennie en tant que stagiaire chez SM Entertainment avant de se tourner vers l’écriture de chansons. Elle a, à son tour, recruté le parolier Andrew Choi, qui a été finalement choisi comme la voix chantante du leader des Saja Boys, Jinu. (Chaque membre de Huntr/x et des Saja Boys est doublé à la fois par un acteur et un chanteur.)