Attaque nocturne sur Kyiv : la Russie frappe délibérément les civils — 14 morts, plus de 100 blessés
Attaque nocturne sur Kyiv : la Russie frappe délibérément les civils — 14 morts, plus de 100 blessés

Attaque nocturne sur Kyiv : la Russie frappe délibérément les civils — 14 morts, plus de 100 blessés

17.06.2025
1 min de lecture

Dans la nuit du 16 au 17 juin, la capitale ukrainienne Kyiv a été plongée dans l’horreur. Entre 23h et 5h du matin, la Russie a mené une attaque aérienne massive contre des quartiers résidentiels, visant non pas des objectifs militaires, mais des immeubles d’habitation remplis de familles endormies.

Des civils ciblés dans leur sommeil

Ce n’était pas une bavure. C’était une opération ciblée, planifiée, et exécutée dans un but de terreur. Des missiles et des drones ont pulvérisé des pans entiers d’immeubles dans le quartier Solomianskyi. Des enfants, des parents, des personnes âgées ont été piégés dans leur lit.

📍 Bilan humain à 9h30 (heure locale de Kyiv) :

  • 14 morts confirmés
  • Au moins 99 blessés, dont 59 hospitalisés
  • Le nombre de victimes pourrait dépasser les 104

Parmi les victimes figure un citoyen américain engagé dans une mission humanitaire, soulignant le caractère aveugle de cette offensive.

Un acte de terreur d’État assumé

Le message est clair : ce n’est pas une frappe accidentelle. C’est une stratégie de terreur d’État. Une manière moderne et officielle de faire la guerre en violant le droit international humanitaire. Cette attaque rappelle les pires méthodes utilisées par des groupes extrémistes, à ceci près que c’est ici un État souverain, membre du Conseil de sécurité de l’ONU, qui en est l’auteur.

Les services de secours ukrainiens restent mobilisés. Les opérations de recherche se poursuivent, et le bilan humainpourrait encore s’alourdir dans les prochaines heures.

Une réponse internationale attendue

Face à une telle violence, la communauté internationale est une fois de plus interpellée. L’absence de réaction forte équivaut à une forme de tolérance implicite. La reconnaissance de la Russie comme État commanditaire d’actes terroristes est désormais une question de responsabilité politique, juridique et morale.

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