Attaque dans un lycée à Nantes : Bruno Retailleau et Elisabeth Borne se rendent sur place
Attaque dans un lycée à Nantes : Bruno Retailleau et Elisabeth Borne se rendent sur place

Attaque dans un lycée à Nantes : Bruno Retailleau et Elisabeth Borne se rendent sur place

24.04.2025 20:45
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Un militaire et des policiers bloquent l'accès à un lycée où un élève a poignardé plusieurs adolescents, le 24 avril 2025, à Nantes. (LOIC VENANCE / AFP)
Un militaire et des policiers bloquent l’accès à un lycée où un élève a poignardé plusieurs adolescents, le 24 avril 2025, à Nantes. (LOIC VENANCE / AFP)

La ministre de l’Education nationale, Elisabeth Borne et son homologue de l’Intérieur Bruno Retailleau, ont annoncé se rendre jeudi 24 avril à Nantes, après qu’une lycéenne a été tuée et trois autres adolescents ont été blessés à coups de couteau par un élève au sein de l’établissement Notre-Dame-de-Toutes-Aides. Selon les premiers éléments de l’enquête, de source policière à franceinfo, l’adolescent est suspecté d’avoir poignardé les victimes lors d’un différend entre jeunes, des éléments que les investigations devront confirmer. Suivez notre direct. 

Le jeune a été maîtrisé par des enseignants. Selon les sources policières à franceinfo, l’élève s’en est d’abord pris à une élève au deuxième étage de l’établissement. Il a ensuite poignardé trois autres lycéens en redescendant, avant d’être maîtrisé par des enseignants. « Il a assailli deux salles de classe »,précise un policier intervenu sur place.

L’élève n’est pas considéré comme radicalisé« Il présente un profil dépressif », souligne une source proche de l’enquête à France Télévisions. « A ce stade, le mineur est prostré et mutique en garde à vue », ajoute une source policière. Une expertise psychiatrique doit être menée dans l’après-midi.

« Ça fait froid dans le dos », témoigne un élève« Ça peut arriver à n’importe qui. C’est un quartier assez calme, il ne s’est jamais passé de grave dans ce lycée », a expliqué un lycée au micro de France 3. « On a vu des gens en pleurs, des gens de seconde. Beaucoup de mouvements de foule, énormément de questionnements », explique un autre jeune.

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